La cité de Minas Morgul, où tu te trouves actuellement, est divisée en plusieurs secteurs
Premièrement, l'aile royale, qui consiste en la Tour, et le palais. Ces lieux, d'accès trés restreint, servent de palais personnel au souverain de la cité, le Roi-Sorcier.. ce site est lourdement gardé et on n'y accède que sur convocation expresse. Tu n'y es jamais allée.
Un important bâtiment de pierre, comportant de nombreuses dépendances, salles d'entraînement, terrains de manoeuvres et écuries, regroupe à la fois la garnison principale et l'Académie, dirigée par le Commandant et ses hommes.
Autre site notable : les baraquements des troupes. Ce sont des maisons civiles dont la plupart des murs ont été abattus, et qui ont été aménagées de façon à créer de vastes dortoirs, où règnent la loi du plus fort et la promiscuité. Les baraquements sont séparés en deux parties, l'une réservée aux Humains et l'autre aux Orques.
Ils comportent également les cuisines de la garnison, où de grands chaudrons de boustifaille sont préparés pour les hommes de troupe.
Autre bâtiment que tu connais bien : les anciens bains publics de la cité, un des rares lieux à être restés à peu prés en l'état depuis la prise de la cité. C'est un des rares endroits qui ne grouillent pas d'Orques ni d'Uruks, ces derniers étant persuadés que le savon fait fondre leur peau.
De ce fait, ce lieu est trés prisé par les soldats humains, qui y viennent souvent pour se détendre, discuter entre eux et goûter aux différents agréments du lieu. Tu sais cependant qu'il s'y produit de temps à autre des règlements de compte d'une violence terrifiante.
Tu disposes d'une petite chambre dans les niveux supérieurs de l'Académie. Le mobilier est des plus sommaires : un lit, un tabouret, un placard où ranger tes affaires. Un esclave snaga est affecté à ton service. La pièce comporte aussi une paillasse pour le snaga.
La porte comporte quand même un verrou, mais par contre n'a qu'une fenêtre étroite.
Tu peux circuler assez librement dans l'académie, les baraquements (à tes risques et périls) et les bains publics