Dol Guldur

Les deux gardes se frottant les cotes et les coudes se mettent a déblatterer des mots a la limite du comprehensible dans lesquels tu distingue " snagas", "cuistot hor de lui " , "repas des chefs" , "sacs", "fiole d'alcool".
Tu comprend donc que tes esclaves sortent des cuisines.
et que tes affaires sont quelque peu en danger, etant donné que, a part le cuistot chef qui est quelqu'un de discipliné et sensé, la majorité des mains qui epluchent, lavent, coupent, se brulent, trempent, plongent ect... appartiennent a des snagas commis de cuisine.
Urkul, qui n'a comprit qu'une seule chose, " repas des chefs", se dirige vers la porte en beuglant .
Le suis tu?

HRP(désolé de ne pouvoir passer qu'à présent, je me battais avec une saleté de spyware)HRP


Comprenant d'un coup l'enchaînement probable des événements, et devinant plus qu'à moitié ce qui risquait d'en découler, l'Humain grommela, réussissant à ne pas perdre son calme.

Je vois. Confiez-les moi, ça va chauffer.

Puis, saisissant de chaque main un snaga par l'oreille, il s'empressa de suivre Urkul d'un pas vif, tout en imposant du regard le silence aux deux misérables bestioles.

La cuisine était un véritable pandémonium de chaleur, de fumées, de snagas affairés à essayer de cuisiner. Il discerna aisément le chef cuisinier, glapissant autour d'un grand plat renversé et de quelques restes, et un garde qui agitait une de ses sacoches.

Evidemment, les deux crétins, qui à présent essayaient de se faire tout petits, étaient à l'origine de la catastrophe.

Cuisinier, je devrais vous permettre de rôtir ces deux imbéciles; mais ça leur permettrait d'échapper trop facilement à la punition qui les attend. Passez moi cette sacoche, je vais essayer de remplacer les biens perdus.

Tout en fourrageant dans la sacoche, il ajouta

Par chance, un sergent Gondorien que j'ai interrogé a eu l'amabilité de me remettre tous ses biens, y compris ses rations, dans l'espoir que je lui laisserais la vie. Ces articles vont servir à présent. De la charcuterie, du boeuf salé et certains pains de voyage. Cela fera l'affaire ?

Le cuistot te regarde sortir tes provisions d'un air mefiant, puis les prend et s'en va au fond de la piece en gromelant.
A ce moment, tu t'aperçoit qu'un des gardes encores dans la cuisine fait tourner entre ses doigts sales un badge que tu reconnais, il porte les armoiries du Gongor.

Urkul, plus interressé par le probleme du demenagement s'enerve apres ses gardes:
Je vous avais dit de ne pas nous deranger, et vous pertubez cet entretien avec des raisons aussi grotesques? Je vais vous montrer de quel bois je me chauffe, moi! Venez ici bande de rats puants! Et toi aussi, là bas, qu'est que tu as dans les mains? a qui est cette flasque? Dârânir, elle est a vous je pense, mais quel sortilege enferme t elle, ce snaga titube! viens ici vermine, que je te tranche les mains pour ça !

Sur ces mots, Urkul attrape un snaga qui arbore un sourire béha. et lui prend des mains une gourde vide qu'il te lance, puis sort de la cuisine, suivi des gardes et snagas coupables, prets a recevoir leur sanction.Une fois passés la porte, tu entens l'uruk beugler :
EMMENEZ LES JE M OCCUPERAIS DE LEUR CAS PLUS TARD !!

A l'exterieur, plusieurs humains en armures recuperent tout ce petit monde et les emmenent a l'ouest de la forteresse.Ils passent derriere l'angle d'un mur et disparaissent. Tu n'entens plus que couienements et gemissements qui s'eloignent.

Bon, est ce que les garnisons que je t'ai affecté te vont, ou pas, humain?
Depeche toi, je n ai pas que ça a faire![/i]

L'Humain se dirigea tranquillement vers le garde qui tenait le badge, et dit, toujours d'une voix douce, mais dont les accents ne donnaient aucune envie de le contrarier :

J'ai prélevé cet objet sur un captif, et il m'a été trés utile pour arriver ici sans avoir à combattre plus que nécessaire. Il pourrait encore m'être utile. Rends-le moi.

Il savait que comme il avait mentionné l'épisode peu auparavant, cet argument serait inattaquable. Tout en s'assurant que ses deux snagas n'étaient pas embarqués, il répondit à l'adresse d'Urkul

Je n'ai aucunement oublié les effectifs dont vous parliez, général. Je suppose que c'est surtout de l'infanterie ? Pour ce qui est des esclaves humains proposés, pourquoi pas ! Un sergent pourrait être utile, si il y en a un dont vous pouvez vous passer.

Avec votre permission, j'aimerais prendre mes quartiers et m'assurer que mes biens ne sont pas dispersés dans toute la forteresse. Cela me permettra de me familiariser avec les habitudes du lieu. Je peux difficilement prendre en main mes troupes si je suis constamment dérangé par des imbéciles. (ceci en foudroyant du regard les deux pauvres snagas).

Mon voyage jusqu'ici a été assez ... instructif; je vous remettrai mon rapport dans une heure si cela vous convient.

La proposition de prendre un segent du choix d'Urkul était un mouvement purement tactique : outre l'intérêt de faciliter le commandement, cela offrait à l'Uruk la possibilité de garder un oeil sur l'Humain. Dârânir le savait, et, mieux encore, savait qu'Urkul, visiblement pas un imbécile, le savait lui aussi.

L'uruk balaya la place du regard, puis fit un signe vers un humain en tenue de soldat posté au fond.
Alors au pas de course, il vous rejoint, les yeux fixant le sol.
Emmene cet officier dans une chambre de l'aile ouest, et fait lui porter de la nouriture.
Avant ça , humain, tu vas faire le tour de la place et choisir les soldats et esclaves que tu souhaite prendre avec toi. tout ceux qui sont là pour le moment, je te les donne, je n'en ai pas besoin.
Pour les unités d'elite, les fantassins, les archers et l'officier dont tu m as parlé, on verra lorsque tu m aura donné ton rapport.je te les reunis pendant ce temps.

Dans la place il y a:
Toujours des snagas
des esclaves humains, hommes, pas de femmes
quelques soldats orques portant une épée a la main, mais ils n'ont pas l air tres frais, et ont l'air de revenir d'expedition
un groupe de six humains en armure de la meme sorte que celui qui est a tes cotés.

Les deux snaga qui sont a tes ordres sortent en courant de la cuisine, et , t'apercevant se dirigent vers toi en rampant et en gemissant des mots presques inaudibles.
Pas nous, pas nous!
Nous porter les sacs ici, et nous faim! et cette odeur bonne, là!
haaaaa, nous si faim!!!
Le Soldat qui t'a été affecté te regard d'un air interogateur, un leger sourire au coin des levres.
Souhaitez vous que je vous debarrase de ces limaces, chef?

HRP/Je suis rentré !!/

Dârânir eut un regard amusé vers le jeune soldat. Apparemment, celui-là n'inspectait le sol qu'en présence d'Urkul, et était capable d'initiatives. C'était déjà mieux que les conscrits Orques qu'il avait souvent eu à commander, incapables d'agir avec discipline si on n'était pas toujours prêt à rétablir l'ordre de façon musclée.

Il adressa un nouveau regard noir aux deux snagas, ce qui eut pour effet de les faire s'aplatir contre un mur avec des couinements effrayés, puis se tourna vers le jeune homme.

"Amène-les à mes quartiers, puis reviens. Tu me guideras, soldat. En revenant, va chercher ma cravache à l'écurie. Mon cheval est le gris. Vérifie qu'il est bien traité mais ne traîne pas."

Regardant une dernière fois les deux snagas.

"Ne sortez pas de mes quartiers. Que tout soit propre à mon arrivée. Encore un manquement et vous finissez dans les marmites de la garnison, puisqu'on parle nourriture."

Il considéra ensuite les troupes : une petite unité d'Orques en train de grommeler d'un air mécontent, une petite maniple de soldats Suderons qui échangeaient en douce des sourires amusés, une bonne douzaine de snagas et quelques esclaves humains, tous en train d'essayer de ne pas se faire remarquer ...

Il prit la parole, élevant un peu la voix, mais sans se départir d'une attitude calme.

Je suis l'officier Dârânir. Je prends votre commandement. Ne me donnez pas d'occasions d'être mécontent, ou le coupable le regrettera beaucoup.

Se tournant vers les soldats Orques.

L'un de vous est volontaire pour m'accompagner au terrain d'entraînement dans dix minutes. Je veux voir ce que vous valez, pas entendre des vantardises. Toi, là, tu es volontaire. (ceci en désignant un Orque un peu plus lent à réagir que les cinq autres, et qui prit un air parfaitement ahuri).

Les esclaves et les snagas reculerent legerement a tes mots, et ne bougerent plus.
Les suderons s'approchent de toi, se mettent au garde a vous devant toi, en se frappant ll'epaule gauche du poing droit dans une parfaite sinchronisation, puis s'exclament en coeur. Nous sommes a vos ordres!

Quand a l'orque que tu a designé, il attrape une épée dans un coin et te suit en geignant et soufflant.

Ce faisant, il te guide jusqu'a une petite place pavée dans laquelle sont placés de facon tres ordoné bizarement, une dizaine de cibles, des pantins tenant de gros gourdins de bois, armurerie remplie d'épées, arbalettes, arcs, boucliers, de piques, et de lances.

Tu decouvre aussi un grand nombre de soldats orques a l'entrainement. IL y a bien sur des mots et des diputes ça et là, mais dans l'ensemble, tout a l'air de bien fonctionner. Cela te permet de voir que quelques uns d'entre eux sont de bon guerriers.
Les maitres d'armes sont des Urukaï qui meuglent de temps a autre sur leur soldats en leur prenant leur épée des mains pour les envoyer balader un peu plus loin.
Un guerrier uruk en armure noire te rejoins dans cette place et te salue.


Je suis le sergent SARCUL ! Urkul m'a ordonné de me mettre a tes ordres, humain! c'est ce que je ferai, tu peux compter sur moi.

Dârânir avait pris soin de mémoriser la configuration des lieux, afin de pouvoir s'orienter aisément. Il savait que le jeune soldat Haradrim le retrouverait sans peine, puisqu'il semblait intelligent.

Il se tourna vers l'Uruk qui venait de lui parler

Trés bien, sergent. Je veux que toutes les troupes qui me sont affectées soient bien nourries et aient double entraînement chaque jour jusqu'au départ, à l'exception de celles qui rentreront de patrouille. J'y participerai si c'est possible.

Fais passer le mot auprés des autres sergents que mon unité est disposée à prendre tous les snagas surnuméraires à peu prés en bon état. Ils serviront .... et c'est toujours de la viande qu'on n'a pas à porter. Je veux aussi que les forges nous envoient des poignards.

Maintiens la discipline, mais je ne veux pas d'effectifs tués ou mutilés sans qu'on m'en avertisse. Pour les punitions courantes, le fouet suffira.

Tant que j'y pense, un des Haradrim me sert d'ordonnance. Il est sous mon commandement direct et est mon messager. C'est un jeune type, son numléro est 87813. Des questions sergent ?

Puis, s'adressant à l'Orque qui marinait dans son jus.

Bien, nous y allons ?

L'uruk te repondA vos ordres ! , puis se dirige vers le fond de la place pour faire passer ton message.
Alors se met en place un spectacle assez drole. Les officiers uruk ont ordonnés aux orques des se mettre en file indienne.... puis se mettent a les trier meticuleusement les analysant des pieds a la tete, leur assenant quelques baffes histoire de verifier les reflexes, demandant leur matricules qu'un humain scribe note sur un gros livre.
Puis ils decident apres ça de les envoyer a leur gauche ou a leur droite.

L'orque a tes cotés se met a grogner et a souffler d'impatience. Est ce qu'on va rester là longtemps? je croyais que vous vouliez me voir a l'oeuvre!

Au moment ou vous allez partir vers les cibles, l'humain te rejoint au pas de course.
Mission accomplie lieutenant! vos snagas personels sont dans vos quartiers, ils essayent de se cacher dans l'armoire mais il n'y a que leur tetes qui rentrent dedans! je leur ai dit qu'ils etaient ridicules, mais ils ne m'ecoutent pas, alors je les ai laissé.
Puis je suis aller chercher votre cravache, c'est bien celle ci? votre cheval est dans une stalle avec foin et eau a volontée, j'en ai pris moi meme soin!
Y a t il autre chose que vous souhaitez que je fasse?

S'adressant au jeune homme, Dârânir lui montra un emplacement un peu à l'écart.

Pour le moment mets toi là et restes-y. J'en ai pour une minute. Tu les as enfermés, j'espère ?

Se tournant ensuite vers l'Orque

Un bon guerrier est toujours prêt, soldat. Même aux attaques inattendues !

Avant même que sa phrase soit achevée, son épée était dans sa main, le bouclier dressé en défense, et il avait porté une attaque-surprise d'une extréme rapidité, faisant délibérément siffler sa lame au ras de la gorge de l'Orque.

Ce genre de bagarre lui rappelait toujours les premiers combats de sa jeunesse, d'une extréme brutalité, souvent à cinq ou six ontre un. Ce qui réclamait technique, vigilance et sens inné de la violence.

Afin de parer à tout risque de panique ou de bagarre générale, il beugla, sans lâcher du regard l'Orque

TEST EN COURS, TOUT VA BIEN !!

A peine a tu commencé a faire quelques feintes d'épée avec ton partenaire, qu' une vingtaine d'orques et snagas qui n'avaient absolument pas compris la situation, donc croyant avoir affaire a un frittage entre orque et humain comme il y en a quelques fois, se rassemblent en cercles autour de vous deux. Ils beuglent des encouragements pour leur congenere....
ALLEEZZZ, VAS YYYY, ETRIPE LE, FAIT EN DE LA CONFITURE!!! OUAIIIS
L'orque d'abord surpris par ton coup, se rattrape et bloque ton coup suivant avec son bouclier , puis tente de te frapper l epaule en meme temps avec son épée. Un rictus de plaisir s'affiche sur ses levres et il souffle comme un boeuf. et là, "sa botte secrete" , il t'envoie un grand coup de pied dans le bas ventre pour te faire tomber.

Là dessus, le suderon les repousse violement en les traitant de tous les noms qui lui venaient a l'esprit et qu'ils ne comprendraient jamais rien a rien... mais bien sur, dés qu'il arrive a en sortir un, un autre prend sa place!!

Bien sur, le bruit perturbe les comptes des officiers uruk qui se retournent vers toi, et decouvrent la situation, bouche bée....


-Qu'est ce qu'on fait??
- Allez chercher Urkul ! Il va regler ça ! Allez vermine, reprenez les rangs, on va pas y passer la saison!

Dârânir était habitué à des combattants autrement plus vicelards, et la "botte secrète" de l'Orque était éventée avant même d'être lancée, dés qu'il avait vu les yeux de son partenaire briller d'excitation et sa trogne arborer une grimace de plaisir.

Voyant l'Orque s'élancer poure porter un coup dévastateur au bas-ventre, il fit simplement un pas de côté, pour éviter l'attaque brutale, et colla un solide coup de pommeau pile dans le sternum. Ceci en profitant à la fois de la vitesse de déplacement de l'Orque et du déséquilibre de ce dernier.

Le soldat Orque se retrouva au sol sur le dos, aux trois quarts assommé, avant d'avoir compris comment, pendant qu'un coup de pied botté faisait voler son arme hors de sa portée.

Se tournant vers le cercle d'Orques

Silence, racailles, reprenez vos rangs !

Puis, aux officiers, sans cesser de surveiller l'Orque à terre

Ne dérangez pas le général pour si peu, officiers,j'allais justement lui faire mon rapport.

L'orque a terre te fusille du regard en essayant de reprendre son souffle, alors que l'assemblé s'est tue d'un coup, se transformant en une masse compacte de visage ébahis. Certains obeissent a ton ordre et partent se mettre dans les files, d'autres reculent, et d'autre encore se mettent a grogner.
Le suderon les pousse a grand coup de bouclier Allons, allons, retournez dans les rangs , on vous dit, vous etes sourds ?et toi, releve toi, et incline toi!

Alors que l'humain s'affairait a remettre un semblant d'ordre, deux autre humains vetus de la meme armure entrent en courant dans la place en apellant :
SANGAHYANDO!!
L'humain a tes ordres se retourne vers eux.
Ah vous voila, je vous presente notre nouveau chef! le Lieutenant Dârânir! Nous sommes a present sous ses ordres! Faites votre serment et dite lui ce qui vous ammene.

Les deux hommes posent un genou a terre et inclinent la tête devant toi.

A VOS ORDRES, MONSEIGNEUR

Dârânir tournait délibérément le dos à l'Orque qui se relevait péniblement derrière lui en grognant de colère, désireux de lui sauter dessus. Il dit, d'une voix douce mais glaciale

Je sais à quoi tu penses, soldat. Essaye, essaye seulement, et tu mangeras de la soupe pour le reste de ta vie, que je te pourrirai personnellement. A présent, va rejoindre ton unité. J'espère que les autres sont moins lamentables que ça.

D'un ton un peu plus amical, avec un sourire vers le jeune soldat.

Eh bien, Sangahyando, j'apprécie d'avoir une ordonnance courageuse et capable d'initiatives. Félicitations.

Aux deux Humains en train de présenter leurs respects.

Relevez-vous. Qu'aviez-vous à me dire ?

Les deux humains se relevent.
Nous revenons de notre ronde de l'apres midi a l'instant, et nous avons des nouvelles de la lisiere Est. Nous avons apercut une colone de soldat elfes , mais ils ne ressemblent pas a ceux que nous avons l'habitude de voir..... Leur armure est differente... Cela nous a semblé important, alors nous sommes revenus de suite.

S'adressant directrement à Sangahyando


On va trouver le général, et vite. Il doit être averti. Guide moi. J'ai besoin d'un rapport complet. Que l'un de vous aille avertir vos camardaes de se tenir prêts.

A savoir : combien d'Elfes ? Fantassins ou cavaliers ? Quel genre d'armes et d'armures ? Est-ce qu'ils vous ont vus ? Où vous trouviez vous exactement sur la lisière ? Quand les avez vous vus au juste et combien de temps s'est passé depuis ? En dehors de moi-même, à qui avez vous déjà rendu ce rapport ?

La voix de Dârânir restait douce et calme, mais on sentait qu'à l'intérieur, un petit mécanisme glacial s'était déjà mis en mouvement, estimant les chances, mettant en place les stratégies possibles, cependant qu'il suivait son ordonnance.

Les deux gardes se regardent apres les paroles de Dârânir avec des yeux ronds. Puis l'un d'eux ouvre la bouche, puis la referme un instant....
Tu vois bien que coté intellect, c'est nettement moins bien que celui qui t as été donné par Urkul ( ce sont des militaires apres tout, faut pas trop leur en demander, sinon, ça fume...... hi hi)

heuuu:
ben.......

Et bien Salaman, parle! lieutenant, je vais faire apeller le general sur le champ!si j'attend leur rapport avant, on en a pour la nuitApres avoir frappé sa poitrine du poing a ton intention,Sangayando s'eloigne d'un pas vif vers les Uruk du fond, alors que ses deux amis le regardent partir avec un oeil inquiet.... Puis se retournent vers toi dans un sursaut.


Nous ne nous sommes pas fait reperer, ça c'est sur!
- oui et puis on est de suite venu vous voir, alors, personne d'autre n'est au courant!
- oui oui
- ....
- vas y toi!
- heuu, oui..... bon, leur armure, on a pas trop bien vu, mais ce qui est sur, c'est qu'elle est pas pareille. Elle brille plus!
et ils sont environs une cinquantaine.... a cinq ou six pres hein? on a pas pus bien compter, un bosquet nous bouchait la vue!
Pour les armes, ils ont des lances, ça c'est sur, et des arcs aussi, apres, je sais pas. ah oui! et des boucliers aussi. enfin, la totale quoi.....
...

- on etait en lisiere de foret, a l'Ouest de la forteresse face a l'Anduin, bon, bien sur , on voit pas l'eau parce que c'est trop loin, mais quand meme face a lui!!!

Dârânir, s'adressant aux deux soldats.

Vous avez eu beaucoup de chance qu'ils ne vous voient pas. Restez ici, le général voudra peut-être vous questionner.

Il se dirigea vers les officiers Uruk, afin d'attendre l'arrivée d'Urkul. Dans son esprit, le mécanisme glacial était à présent enclenché, tandis qu'il réfléchisait aux options possibles. Un sourire froid et inquiètant naquit sur ses lèvres.

A peine as tu tourné le dos, que les deux haradrim Perdhival et Kardaloc se mettent a chuchotter entre eux.. Alors que tu te retourne vers eux pour leur donner une tache quelconque pour les occuper, tu t'apercoit que l'un d'eux a sortit un saucisson dont il se coupe une tranche genereuse a l'aide d'un couteau de chasse.
Tout en mastiquant, Perdhival envoie un grand coup de pied a son collegue en lui disant tu pourrais en proposer au chef quand meme, mal poli, puis renverse au dessus de sa bouche une gourde rempli d'un liquide rouge...

Le temps que tu passe a observer les deux gardes, Urkul a franchit la porte de la place, accompagné de Sangahiando. Il a l'air tres préoccupé.

AU RAPPORT LIEUTENANT

Dans un sifflement, Dârânir ordonna aux deux hommes

Rangez ça tout de suite, vous êtes sous les armes.

Se dirigeant vers Urkul

Général, ces deux soldats viennent de rentrer : ils disent avoir vu un groupe d'Elfes étrangers à la Forêt Noire, de cinquante ou soixante unités, puissamment armés : armures de métal, boucliers, lances. Sans doute aussi des épées, et ils ont des arcs bien sûr.

Les deux gardes se trouvaient en lisière, à l'Ouest d'ici, face à l'Anduin. Si je comprends bien leur rapport, les Elfes remontent vers le Nord.

Je n'ai pas d'expérience de terrain en ce qui concerne ces êtres, qu'on dit redoutables. Si c'est exact, les anéantir sera délicat ... et surtout trés coûteux en termes stratégiques. Cela me semble hasardeux car je ne connais ni leur vitesse de déplacement, ni l'heure à laquelle ils ont été observés. Donc il est difficile de prévoir leur position pour les prendre à revers.

J'ai préféré vous faire avertir imédiatement Général.

C EST BIEN !
JE N EN ATTENDAIS PAS MOINS DE VOUS LIEUTENANT! QUAND A VOUS DEUX , VOUS ETES DEUX IMBECILES , ENCORE HEUREUX QUE LES ELFES NE VOUS AIENT PAS VUS !! QUOI QUE !
Puis, il s'pproche de toi et baisse d'un ton. Je sais que vous etes loin d'etre idiot alors vous avez deja dû penser a quelque chose pour ça !! Annoncez moi votre proposition

BANDE FOU,vous ete incroyable vous deux,LES ELF PEUVENT SAVOIR QUE VOUS ETE LA.IL FAUDRAIT NOUS DEPLACER MAITENANT POUR ETRE EN SECURITER DES ELF...GRRR

Urkul te regarde avec un oeil de braise et en decouvrant ses crocs brillants:
Silence esclaaave ! Si les elfes viennent nous attaquer a Dol guldur, je saurais comment les acceuillir.......... Mais il ne faut pas qu'ils representent un danger lorsque nous serons dehors avec le maitre... Là nous serons affaibli, je croyais que tu avais compris!

Dârânir, ton plan?

Eee...Oui...oui(avec un visage effrayer)