Dol Guldur

HRP/désolé, je ne peux passer qu'à présent, pour cause de trés gros orage dans ma région : pas envie de faire foudroyer mon PC ../HRP

Dâranir avait gardé une attitude imperturbable et calme, sachant que manifester de la peur en présence d'un Orque ou d'un Uruk était en général trés mauvais pour la santé.

Eh bien général, que les Elfes n'aient pas vu ces deux sentinelles me surprend aussi. Ils se sentaient sans doute trés sûrs d'eux et ont dù relâcher leur vigilance; ou bien c'est une ruse de Tharkes.

Nous pouvons les surprendre; il sera alors possible d'interroger les survivants pour savoir ce qu'ils veulent. Si ils découvrent quelques uns de leurs semblables, affreusement blessés, leur réaction sera tout de suite ... de se désorganiser, le temps d'aller chercher le guérisseur, de questionner la pauvre victime, de chercher de l'eau et des couvertures, et ainsi de suite ...

Une désorganisation que des troupes bien menées et bien coordonnées pourront utiliser pour frapper, général. Bien sûr, pour appliquer un tel plan, il faudrait un ou deux prisonniers de leur espèce, de préférence devenus fous dans leur geôles.

Urkul te regarde intensement....
il reflechit a toutes les possibilités de cette tactique et finalement prend un air plutot satisfait:
MMMMH çA PEUT MARCHER! MAIS MEFIE TOI, CES ELFES SONT DES ETRES SOURNOIS! IL NE FAUT RIEN LAISSER AU HAZARD DANS CE GENRE D EXPEDITION. cela te servira de preuve. Si tu echoue, tu mourra de leur mains........... ou de la mienne!

puis il regarde Perdhival et Kardaloc avec fureur:
Je vais tuer l'un de vous pour montrer l'explemple aux autres: l'un de vous est volontaire, lequel?A moins que vous preferiez que je tue celui ci pour m'avoir coupé la parole, tu a bien de la chance humain que je sois de bonnehumeur !!! tu a raison d'avoir peur de moi, car mon épée pourrait etre moins gentille envers toi la prochaine fois.. Allez Perdhival, viens là!!

Sanghayando pose une main tremblante sur ton epaule .
Tu recule legerement la tête pour l'ecouter, discretement. Là, le haradrim te dit:
Il ne faut surtout pas le tuer, monseigneur... C'est le meilleur eclaireur de toute la garnison, sans lui, nous errerons dans la foret sans trouver notre chemin.......
il a reussis a trouver seul le domaine des elfes de mirkwood. Il parvient a passer loin des nids d'araignées, et personne ne le voit s'il ne le souhaite pas.... Je vous l'accorde, ce n'est pas un guerrier hors pair, et il fait des bourdes, mais je vous assure que nous avons besoin de lui..! Sans vous offenser.... monseigneur

Sans même regarder le jeune homme (ce n'était pas le moment de manifester de la faiblesse ou de la peur !), Dârânir planta son regard dans celui de l'Uruk. Sans le défier, simplement pour lui montrer qu'il gardait la tête froide et était résolu.

Général, en tant que leur officier, je sollicite la grâce de ces hommes : sans leur connaissance de la forêt, les unités envoyées pour cette expédition se perdront ou ne pourront rattraper l'ennemi à temps. Un groupe aussi important n'a pas été envoyé pour rien, et je suis certain que ne pas pouvoir les interroger serait pour le moins regrettable.

Il serait peut-être même possible, si vous me faites confiance, que je puisse infiltrer l'ennemi; mais pour cela, il me faut des guides ayant une excellente connaissance du terrain. Ce qui pourrait être profitable à tous ...

Soyez bien certain qu'en tant que leur officier, je sanctionnerai trés sévèrement toute nouvelle excentricité.

Urkul qui soulevait le soldat par la gorge d'une main, detacha son regard un instant de lui pour regarder Dârânir... Il reflechit un instant, sans lacher la gorge de Perdhival qui se tordait en te regardant avec les yeux grands ouverts.
Kardaloc, voyant que son ami etait en train de s'ettouffer , laissa echapper un sanglot nerveux... Il te regarda
S'il vous plait, faites quelque chose!! general, il va mourir!
Ce qui sortit Urkul de sa reflexion. Sans le regarder, il lacha Perdhival qui s'affala de tout son long, en inspirant bruyamment , et toussant comme si il avait fumé de l'ortie!


infiltrer l'enemi, tu dis? avec ces imbeciles? HA ! comme tu veux!
tu me fait bien rire avec tes experiences, humain, cela aura au moins eu le benefice de me divertir.... allons, je te le laisse.... mais... tiens les
Urkul effectua un demi tour rapide et repartit aussi vite qu'il était apparut

Dârânir attendit qu'Urkul soit parti, avant d'ordonner sèchement au soldat.

Debout. Je vais revenir avec Sangahyando. Vous nous servirez de guides, alors préparez les vivres nécessaires. On peut passer à cheval ?

Se tournant vers le nouveau venu, il le plaqua brutalement contre la paroi la plus proche, parlant d'une voix basse et furieuse

Toi, je vais te faire une prédiction. Si tu commets encore une faute, tu vas découvrir que je peux être bien pire qu'Urkul. Si tu as des habits civils, va les mettre tout de suite, puis rejoins nous.

Puis, s'adressant à Sangahyando

Toi, on va dans mes quartiers. Je veux te parler. Et arrête de trembler, petit.

Perdhival se releve avec difficulté en toussant. Son compagnon, Kardaloc te remercie a sa place, puis te repond
A cheval? ah ouais!
sauf qu'a des moments, il faudra descendre parce que la foret est trop etroite a certains moment. C'est pour ça!
Nous on prend plus les chevaux, ça va plus vite! ben oui, parce que a chaque fois il faut les desseler,e t tout alors, on perd du temps

Sanghayando, encore perturbé par la colere d'Urkul, te devance pour te montrer où sont tes quartiers...
Il entre dans une porte voutée et commence l'ascension des escaliers qui menent aux dortoirs.
Au bout d'un moment, vous arrivez dans un long couloir aux multiples portes... La tienne apparement, est la premiere. Sangha l'ouvre a l'aide d'une clef qu'il te tend immediatement apres avoir ouvert, puis ouvre la porte en grand et te laisse entrer le premier....
et au moment ou tu entre, tu decouvre tes deux snaga.....ou plutot, tu decouvre deux paires de fesses qui se tortillent sans le haut du corp visible.
Spectacle ahurissant, bien sur ( D'ailleur Sanghayando ne parvient pas a etouffer un rire nerveux!).

Dârânir contempla d'un air amusé le spectacle des deux paires de fesses de snagas en train de s'agiter. Il observa un instant de silence de mort, avant de s'éclaircir bruyamment la voix.

Sortez de là. Tout de suite.

Parlant au jeune homme, qui essayait de maîtriser un rire nerveux.

Tu as toujours ma cravache, mon garçon ? Je vois que oui. C'est bien. Entre. Et ferme cette porte, je ne veux pas attirer tout le secteur.

Apres avoir reussit a ravaler ce stupide rire nerveux et reprit son serieux,, Sanghayando entra dans la piece, ferma la porte a clefs, et tendit la cravache a Dârânir.......
Il se sentait mieux maintenant qu'il etait loin de ce monstre , et ce lieutenant lui inspirait confiance... Apres tout, il avait l'air d'etre quelqu'un de juste et respectable.... esperons le en tout cas!

De ce temps, les snagas, apres un bon moment d'hesitation, ramperent sur le sol en arriere, tout en couinnant. Ils se doutaient bien de ce qui allait leur arriver!
Non, maiiitre, pas taper nous.... moi pas vouloir faire de betises, c'est lui qui m'a poussé
- Naannn c'est pas vraiiii, c'est luiiii!
- si c'est toi
- nan, sale petit menteur, fourbe, sournois, maiiiitre, ecoutez moiiii!

Silence vous deux, je ne vais rien vous faire.

Les deux snagas se turent interrogateurs.

Pourquoi me tends tu ça, mon garçon ? Tu t'en occupes. Dix coups chacun.

Sanghayando regarda Dârânir d'un air interogateur un petit instant , puis dit :
Bien lieutenant, a vos ordres, comme vous voudrez!
Il se dirigea vers l'un d'eux et l'attrapa par une jambe.
Le snaga se mit immediatement a hurler, et tenta de lui mordre le bras.... ce qui eut pour effet immediat : un coup de genou dans la joue.
Puis il abatit sur le dos de la creature couinante le premeir coup de cravache

CHHHHTACCC

Bien sur, le Snaga se mit a hurler de plus belle, mais le soldat restait de marbre, et continuait a assener les coups de cravache restants....
Au bout de dix, il posa delicatement le snaga au sol et attrapa l'autre creature.

Dârânir, pendant que son ordonnance martyrisait les deux pauvres snagas, se dirigea vers les bagages jetés sur son lit.

Il savait que les couinements et les pleurs des misérables créatures n'attireraient aucunemement l'attention : qu'un officier corrige ainsi ses esclaves était chose normale et habituelle.

Il tira d'un des sacs un petit paquet de vêtements, et considéra attentivement le jeune homme. Mmmmouais ... c'était la bonne taille ....

Quand tu auras terminé, viens ici. J'ai quelque chose pour toi.

Shadow:
alors que tu observe Sanghayando et Dârânir s'eloigner, Perdhival et Kardaloc te rejoignent...

Qu'est que tu en pense, toi du nouveau... tu le trouve pas un peuuu... comment dire....
comment on pourrait dire, perdhi?
- presomptueux!
- ah ouais, c'est ça! presomptueux... non mais tu vas voir quand mossieur dent pointues va l'avoir dans le pif, il chantera plus, c'est moi qui te le dis!! ha ha
- en meme temps il t'a sauvé la vie, parce tout a l'heure, c'etait toi qu'il avait dans le pif!
- ouais........ qu'est ce que t'en pense? toi?
et l'aut' là, mais quel leche bottes celui là!
quand je pense a tout ce qu'on a fait pour lui....

Dârânir:
Bien sur, tu n'a rien entendu de cette conversation!!
Sanghayando s'occupe de l'autre snaga, puis vient a cotés de toi comme tu le lui a ordonné

Le Numénoréen avait tiré de son paquetage une tunique d'étoffe brune, finement cousue, de même que des chausses et une cape de laine brun-vert. Il y avait aussi un plastron de cuir fin, brodé d'un emblême Gondorien.

Un jeune éclaireur Gondorien que j'ai intercepté a eu la ... gentillesse de me donner toutes ses affaires, en échange de quoi je devais l'épargner. Je me suis dit que ça pourrait servir. Essaye-les. Je pense que c'est ta taille. Ensuite, tu remettras ta tenue actuelle, je ne tiens pas à déclencher une émeute dans la forteresse.

Lisant une question dans le regard de son ordonnance, il ajouta, avec un sourire amusé

Je ne l'ai pas tué, voyons. Une promesse est une promesse. Je l'ai juste déposé au campement du sergent Thargun, à Osgiliath. Ils apprécient la viande fraîche, là-bas.

Un conseil, petit : quand tu es en présence d'un Orque, ou même d'un Uruk, ne montre jamais que tu as peur comme tu l'as fait tout à l'heure. C'est le meilleur moyen pour finir dévoré vivant. Crois-tu que je ne connaisse pas la réputation d'Urkul ?

Oui, lieutenant, je sais tout cela, bien sur, je les ai frequenté plus que ma volonté ces derniers temps.......... je suis desolé que mes sentiments personnels aient étés mis a jour si facilement... Je saurais me tenir dorenavant, je vous l'assure!
Tout en enfilant la tunique, Sanghayando a un drole de regard, il te semble deviner que la crainte n'est pas le seul sentiment qui anime ce jeune soldat envers le general Urkul..

De ce temps, les snagas se trainent vers toi en se frottant le dos.

Je vois que ces affaires te vont bien. Avec de la chance, et je pense que ça ne te manque pas, on s'en tirera.

Vilaines cicatrices que tu as là. On dirait que tu as failli y passer ? Ca ressemble à la trace d'une épée de chez nous.

Sans même regarder les snagas.

Vous deux, je ne vous emmène pas. Je vais vous confier au Maître des Esclaves de la forteresse. Tâchez de bien lui obéir, ou sinon vous finirez trés mal.

* Note pour notre MJ : mon perso fait référence à l'officier spécialisé, comme il y en a un dans chaque forteresse de Mordor, qui s'occupe des esclaves et des snagas de la garnison.

Les snaga reculent en entendant ton orde.
Mais.... mais.... maîîîîîîître!
nous pas rester ici, nous vouloir venir avec vouuuus! pas gentil les maechants vilains uruk, fourbes, oui, fourbes ils sont, avec leurs dents pointues et leurs oeil qui voit tout. tssss, oh non, pitié nous venir avec vous? Ils te regardent avec de grand yeux innocents.

Sanghayando descente vite la tunique sur son ventre a tes paroles
oui.........oui !

La voix de Dâranir, sans perdre sa douceur, prit soudain un ton cinglant et venimeux, qui fit taire les deux snagas et sursauter le jeune homme, encore peu habitué à cet officier.

Silence, vous deux, ou je vous coupe la langue ! Des esclaves qui se permettent ce genre de familiarités, on aura tout vu !

Estimez-vous heureux qu'on n'ait pas besoin d'appâts pour les araignées géantes, sans quoi oh que oui, je vous emménerais .. et je vous utiliserais ...

D'un ton à peine plus doux.

Ca fait plus de cinquante ans que je fréquente des Orques, alors tiens compte de mes conseils, petit. Remets tes affaires ordinaires et conduis ces deux snagas au Maître des Esclaves. Ne te laisse pas attendrir, d'accord ? Je vais rejoindre tes amis. Nous partirons aussitôt aprés. Je pense que tu commences à comprendre ton rôle ? Nous aurons à parler ... plus tard.

Mon lieutenant, je vous le repette: Je vous serais loyal et vous suivrais quelqu'en soit la fin... je suis a vos ordres! Qu'ils soient de vous servir ou bien de vous seconder dans une infiltration , alors, telle sera ma mission et je la prendrai a coeur .je ne vous decevrais pas, .....mon lieutenant Il avait apparement reprit confiance en lui et ne laissait plus paraitre ni crainte, ni rancoeur dans ses yeux.seulement de la determination...

Sur ces mots, le soldat haradrim s'incline devant toi puis regarde les snaga d'un oeil autoritaire
Suivez moi esclaves !
Et Sanghayando quitte la chambre , les deux snaga lui collant la jambe lamentablement en te regardant avec des yeux angoissés

Tout en préparant ses affaires, Dârânir réfléchissait rapidement à la situation. Une personne qui l'aurait trés bien connu, par exemple son ancien instructeur, aurait compris, à son sourire ironique et féroce, que la siruation lui semblait digne d'intérêt !

*Je t'ai laissé détourner la conversation pour cette fois, petit. La prochaine fois, je ne serai pas aussi gentil. Ces cicatrices ont un rapport avec Urkul, ou je ne suis qu'un imbécile ... mais j'aimerais comprendre ce que tu as fait pour le fâcher ... et pourquoi tu es encore en vie. Il y a de quoi en tuer deux comme toi ... *

Le Numénoréen s'empressa de mettre de l'odre dans sa mise, puis rassembla rapidement dans une seule sacoche les biens dont il aurait besoin. Il prit également le temps de tirer de sa sacoche le rapport de voyage, scellé, qu'il destinait au général.

Bien sûr, certains éléments étaient incomplets, mais il savait Urkul assez compétent pour faire le rapprochement entre le rapport et les éléments récents, tels que l'arrivée des Elfes. Aucun doute possible, il y avait un traître dans la forteresse, si il fallait en juger par l'agitation actuelle !

*Ca ne peut pas être moi, puisque je viens d'arriver et n'étais pas au courant de la mission. Donc, cela vient soit du mage, soit du bey Haradrim, soit d' un plan personnel d'Urkul. Peu probable, mais une telle opération, réussie, lui permettrait d'accroître immensément son influence et son prestige auprés de l'Oeil ! Ce qui pourrait expliquer la mission actuelle qu'il me confie, au lieu de ma tâche initiale ... La situation devient intéressante ....*

Il ferma la porte derrière lui, sachant que le restant de ses affaires serait bientôt fouillé, reniflé, trituré et finalement pillé ou détruit, et descendit rapidement dans la cour. Avisant Sargul qui approchait, chargé dez paperasses

Sergent, tu feras porter ces rapports écrits au général : ils concernent mon voyage. Ce sont mes observations. Le feuillet ci-joint contient mes suppositions quant à l'évolution du la situation. Ces doubles scellés sont destinés au seigneur Khamul.Je vais rejoindre mon unité : nous partons dans l'heure.

Il rejoignit les trois Haradrim, afin d'attendre avec eux son ordonnance. Rien qu'à la façon dont ils le regardaient, il savait qu'ils le jaugeaient, se demandant avec quelque inquiétude si ils étaient tombés sur un fou suicidaire, un maniaque homicide, un affreux pervers ou un officier vachard ... ou peut-être le tout en même temps !

Perdhival et Kardalok avaient enfoui le saucisson qu'ils etaient en train de devorer en voyant Dârânir revenir.
Ils etaient aussi en train de parler avec un jeune esclave humain. Tu n'as pu discerner que les mots "reponsabilité, conseil, et guerre". T'apercevant, l'esclave est vite repartit a ses tache.
Ils te jaugent maintenant avec une certaine mefiance, mais Perdhival a tout de meme une question a poser.
Lieutenant, c'est bien ça? non parce que je me gourre tout l'temps!
je voulais savoir si vous preferez porter les boucliers ou bien les sacs de bouffe! parce que pour moi, c'est egal!
Et il campe sur ses deux pieds en attendant ta reponse, un sourire stupide sur les levres.
Kardaloc ne dit rien, manifestement, il digere

Général Uruk,je doit aller au portes noir.
Bonne chance pour la foret noir...
Shadow disparut dans la foret en direction du mordor

HRP//SHADOW TU JOUES A QUOI NOM DE NOM !!!! // HRP


Aucun doute possible, ces deux crétins lui avaient été assignés pour le ridiculiser ! Trés bien !

Dârânir planta son regard dans celui du soldat. Ses pupilles, ressemblant à deux disques d'acier froid, semblaient lancer de petits éclairs. Cependant, il gardait un sourire glacial.

Pour vous deux , c'est "Lieutenant Dârânir". Compris ? Et tu devrais savoir qu'un officier ne porte pas de bagages. Chercherais-tu à m'offenser, soldat ?

Il se tourna vers le jeune esclave qui était en train de se diriger vers une caisse, priant de toute évidence pour se faire oublier.

Toi, ici. Tu vas porter les bagages.

Perdhival a un mouvement de recul, puis regarde son camarade, ne sachant trop quoi repondre...

heuuu , oui lieutenant Dârânir... ça va .. vous fachez pas....moi c'etait pour savoir, c'est tout... non c'est parce que faut pas partir sans vivres, c'etait pour ça...bon d'accord je me tais..

L'esclave reviens vers vous et se place derriere Kardaloc, qui , plus imposant que Perdhival, le cache entierement..
Tu t'apercois alors pour la premiere fois que ces deux soldats sont observés par tous les esclave avec une admiration sans borne.

Non, mais.. viens plus pres esclave, il va pas te manger, juste te faire porter la bouffe... et..... fais gaffe hein? parce que si tu perds ces sacs......ben..... je te crame ta famille .. ok?

Bon...
on attend quelqu'un???