DOL GULDUR l attaque

Le plus terrifiant pour les soldats Orques restants, était que les deux Humains badinaient ensemble, le sourire aux lèvres, et tuaient sans même paraître s'intéresser vraiment à leurs adversaires. C'était bien plus perturbant à leurs yeux qu'un Urkul en train de beugler. Lui au moins marquait une certaine ... considération à son adversaire.

Toujours en Adunaic

A mon signal, baisse-toi.

L'Orque qui attaquait sans aucune technique reçut un coup de fléau en pleine poitrine. Puis, d'un geste vif, le Numénoréen se baissa, levant son bouclier et cueillant l'Orque en plein air, pour le projeter bien plus loin que prévu, au-dessus des têtes des deux Humains, pile sur un adversaire qui hésitait en grognant.

Baisse-toi !

Agone : un rugissement s eleve derriere toi et tu apercois du coin de l oeil l eclat d une lame sur ta gauche.

Daranir: evidement, ton frere est toi etes de nouveau totalement en fusion et syncro. donc il se baisse au moment meme ou tu l as pensé.

Yelalael: te revoici devant Anglas

Anglas: ta derniere fleche vient d abatre le dernier du tas d orque.

Dârânir;
non non pas du tout.. il restait deux trois bidules dans le camps d Anglas donc il fallait les tuer

Agone avait un orque derriere lui depuis un momne t, mais comme il etait béa devant ton couple. il l avait pas vu

mais c est fini vous etes victorieux..
bravo

Agone lança son épée dans le dos sans le regarder et planta l'orque qui s'écroule comme une poupée déarticulée avec un regard d'étonnement. Il ne comprend rien à se qui se passe.

[Désolé du retard]

L'Humain observa la réaction d'Agone d'un air amusé.

En Westrain, distinctement :

A sa place, je n'aurais émis aucun son avant de frapper. Les Orques ne savent pas contrôler leurs instincts, ils sont justes bons à frapper sans réfléchir. C'est pour ça qu'ils sont faciles à vaincre. Des animaux, je l'ai toujours dit.

L'Humain fit passer son bouclier sur son épaule valide, avec un léger grognement, et dit doucement à Ârândir

On devrait faire un tour par les écuries, j'espère que mon cheval n'a pas été embarqué. Le tien a dû s'y rendre, quand tu es arrivé dans la cour ... On en profitera pour faire un peu de ... nettoyage ...

Arandir occupé a nettoyer son épée sur un cadavre leve les yeux sur toi.
Il a toujours été un peu plus sensible que toi et tu detecte dans son expression une inquietude enorme te concernant , mais il n en parle pas
" Oui je pense que nos chevaux doivent etre a l interieur. allons voir, mais restons prudents, tous les guerriers du mordor ne sont pas aussi stupides!"

Haldir , rangeant son arc dans son dos avance vers Arandir, le devisageant, puis observe avec insistance son blason de minas ithil, tout ceci dans le plus grand silence.. Au loin , depuis la forteresse, resistent encore quelques bruits de bataille, mais ce ne sont que quelques chocs d épées et des cris d orques agonisant...
" Je connais bien ce blason jeune humain.... je devrais vous tuer de suite, mais apres votre geste, je crois que nous allons vous laisser une chance d evous expliquer.. qu en pensez vous seigneur Anglas?"

D'un ton amusé et ironique

Vous voudriez tuer ceux qui vous ont fait remporter la bataille ? Curieuse façon de remercier les gens, messire Haldir.

Le fait est cependant que je vous dois quelques explications. Cela risque de prendre du temps, et je ne tiens pas à le faire sous la pluie. Et vous ?

Agone regarda l'humain qui avait parlé. Il sourit et dit avec un calme qui découlait du fait que sa soif de combat venait d'être étanché.

"En effet messire Dârânir, mais un début ici ne ferait que calmer un peu nos plus grandes inquiétudes. Je pense."

L'Humain, toujours aussi tranquillement, gagna un emplacement abrité de la pluie, et où la terre était relativement ferme. Tout en se déplaçant ainsi, il adressa un regard à son frère. Cependant, rien dans son attitude ne trahissait d'émotion ou de peur.

Je t'ai trés souvent protégé; on dirait bien que ça va être à toi de le faire. Une nouvelle expérience ... Tu t'en sens capable ?

Avant de commencer, je souhaite recevoir des garanties : certaines de mes explications pourraient énormément vous choquer, et vous inciter à des ... gestes malheureux et précipités. Mes méthodes déplaisent à beaucoup de gens, bien qu'elles soient efficaces, si vous me comprenez.

Avant tout, je tiens à vous présenter Ârândir, mon frère jumeau. Nous avons été éduqués ensemble, et cela fait quelques années que nous ne nous étions revus.

Tout aussi calmement

Avant tout, Prince, je vais vous expliquer rapidement mes motivations. Mon frère et moi même sommes effectivement originaires de Minas Ithil. Cela fait des années que nous aspirons à la liberté. Ceci dit, le problème était qu'aucun de nous n'était disposé à le faire en abandonnant l'autre. Npus avons été séparés pendant plusieurs années, ce qui compliquait encore la situation. J'ignorais même qu'Ârândir avait été nommé ici.

J'ai du m'arranger pour attirer le général adverse dans une situation où il était possible de le tuer, et de ce fait, d'anéantir la structure de commandement de la garnison, si vous me suivez. Votre plan de bataille m'y a aidé, bien que je n'aie pas prévu certains détails.

En ce qui concerne la suite de mes plans ... c'est simple. Je dois d'abord trouver rapidement un guérisseur compétent. Une fois guéri, je compte me rendre à Minas Tirith et proposer mes services à l'Intendant. Ce ne sera pas facile, mais je pense qu'il aura l'usage d'un homme comme moi.Contrairement à bien des personnes aux nobles idéaux, je n'hésite pas à faire ce que j'appellerai, par égard pour votre sensibilité, du sale travail. Ce qui ne m'empêche pas d'être efficace sur le champ de bataille, comme vous l'avez vu. Je ne compte pas livrer ce pays au Mordor, si vous tenez à le savoir, d'ailleurs ce n'est ni dans mon intérêt, ni dans celui de mon frère.

Bien sûr, il s'agit d'un plan sur le long terme, que je n'ai pas finalisé. Je suis disposé à aider vos soldats à terminer le nettoyage de la garnison, bien qu'il me soit difficile combattre avec un bras abîmé.. J'ai aussi un petit projet personnel concernant le jeune homme qui nous est venu en aide, et aussi mon frère. Je désire aussi récupérer des biens personnels qui se trouvent encore dans la forteresse.

Arandir n avait pas laché les yeux percant d'Haldir, une expression profonde et determinée dans les yeux, mais aucune peur ou destabilisation..puis quand Daranir commenca son exposé et que l elfe s etait reculé, il ecoutait avec attention tous les echanges, tout en observant le fameux jeune homme dont parlait son frere, un sourire en coin.

" Puis je parler a mon tour avant que Daranir ne vous explique ce qu il a l intention de faire... disons ce qui a dejas été fait ..et comment je suis en mesure de prouver ce que nous avençons !"

Agone regardait avec son unique oeil les yeux de Dârânir durant tout son discours. Puis lorsque son frère prit le parole, cet oeil se tourna vers lui presque noir.

"Permettez-moi de douter encore un peu même si vos explications sont très interessantes. J'espère que vous pourrez me convaincre, messire Arandir."

Dârânir adressa un sourire franchement amusé à Agone, et ajouta, d'un ton ironique

Il y a un point que je tiens à souligner, même si cela ne soulagera guère votre méfiance. Si l'un de nous avait désiré causer la mort ou la capture de l'un d'entre vous, il aurait fait en sorte que cela arrive. Et je vous assure que vous n'auriez pas pu l'empêcher; vous auriez fait les trois quarts du travail vous même sans même vous en rendre compte.

Vous êtes vivants et libres. Prenez en compte ces points à la lumière de ce que je viens de dire. Un dernier point : je ne me vante jamais, et je ne menace jamais non plus. Pure perte de temps, si vous voulez mon avis.

Arandir acquesca aux paroles de Dârânir, puis prit la parole :

" Voici quelques années que je travaille a l aneantissement de cette forteresse de l interieur.. et sans votre... intervention, j'aurais reussis. Je ne visais pas seulement de tuer cet imbecile ( disant cela, il jeta un regard meprisant sur le cadavre d'Urkul) mais d empecher le Deplacement de .... enfin vous savez.. et la perturbation causé par votre attaque m a oté des moyens que j avais mit en place. des soldats qui etaient pret a faire le necessaire au moment venu, un relachement de la part des sentinelles, quelques soucis dans les forges.. donc des armes moins fiables a l issue.... bref je ne vais pas tout detailler..
Je suis en assez bonne relation avec le Rohan et nous avions prevu de prendre la caravane entre deux feu.. il est encore temps! mais maitenant que vous avez tué tous mes hommes, cela risque d etre un peu risqué.. vous n etes que 9 elfes?
ce ne sera pas suffisant.. rentrez chez vous cela vaudra mieux.. je m arrangerai pour faire un rapport catastrophique a mes superieurs , et je ne serai que degradé ... cette erreur me sera pardonnée, j ai encore des cartes en main."
Sanghayando s avanca et coupa Arandir avant qu il n en dise plus:

J ai promis de me battre a vos coté, je n ai pas changé d avis.. Et mes hommes se battrons aussi nous sommes 20 mais tous decidé a vaincre
Perdival et Cardaloc sortirent du lot et se placerent aux cotés de leur ami.. nous seront aussi du combat. Vous avez besoin de quelqu un qui connait bien la zone pour recuperer le retard..

Dârânir commença par regarder tranquillement son frère dans les yeux, puis expliqua

Un rapport catastrophique ? A ta place, j'éviterais cela à tout prix. Tu ne le sais peut-être pas, mais une enquête a été lancée sur toi .. et sur moi aussi. Et tu sais que ça ne signifie pas que la dégradation, loin de là. Je dirais qu'on va vivre ... des moments intéressants.

Tu ne le sais pas, car tu es resté à ... l'etérieur ... assez longtemps, mais toi et moi nous sommes anciens par rapport à la génération que Le Vieux est en train de se mettre en place. Quand je dis que c'est une bande de salopards retors, je sais de quoi je parle, et tu le sais ... et ceux là sont pires que moi. Je parle en connaissance de cause.

D'autre part, vu la procédure dont je t'ai parlé à notre encontre, à ta place je me poserais des questions sur la pertinence de tes informations. Tu sais qu'on ne m'avait pas mentionné ta présence ici. Ce qui signifie que les renseignements ont été cloisonnés.


Je t'avertis de tout ceci parce que tu es mon frère, et parce que je tiens ma promesse.

Se tournant vers les Haradrim

Vous vous en êtes tirés. Trés bien. Je me doutais depuis un bon moment que tu connaissais mon frère. L'opération dont tu m'avais parlé ne pouvait réussir sans quelqu'un pour l'organiser.

Agone écouta les deux frères discuter avant de répondre.

"Donc, si je comprend bien, on se méfie de vous. Pour moi, ces types sont suffisament méfiants. Je pense pouvoir vous faire suffisament confiance. Mais tromper cette fragile confiance que je vous offre et vous m'aurez sur le dos jusqu'à ce que vous mourriez.
Ensuite, en ce qui concerne la forteresse puante des orques tout aussi puants, il faudrait la détruire et maintenant."

Dés ses premières paroles, Anglas se sentit ciblé par non pas un, mais deux regards gris, surpris et aussi amusés qu'ironiques, qui se portèrent ensuite sur le jeune homme.

Ce garçon n'a pas de lien de sang avec nous, mais il est possible que je l'adopte. Ca te dirait d'être oncle, Ârândir ?

Dârânir porta les yeux sur Perdival, tandis qu'il commençait à déboucler les attaches de son armure.

Perdival, Sangahyando m'a dit que tu es un guérisseur capable ? Eh bien, on va vérifier ça. J'ai pris un mauvais coup, et j'ai du forcer dessus. Il s'agit de nettoyer cette blessure et de recoudre avant que ça s'infecte. L'os n'est pas touché, l'articulation non plus; sans ça je n'aurais pas pu bouger.

Tout en parlant, l'Humain avait également retiré la manche de chemise de mailles qui protégeait son bras blessé. C'était une entaille franche, heureusement peu profonde, qui avait été absorbée en grande partie par le bouclier et l'armure. Elle était entourée d'un bel hématome.

Ce qui était plus impressionnant, cependant, c'étaient les autres cicatrices qui se trouvaient sur la zone exposée. L'une en particulier était en forme de demi-cercle grossier.

Dârânir porta la main à sa ceinture, et tira d'une petite bourse une boulette, comopsée de feuilles sèchées, qu'il se mit à mâcher. Avant cela, il dit tranquillement à Perdival

Ceci va atténuer la douleur. Comme ça, tu pourras faire ton travail correctement. Bon, il faut nettoyer ça. Si quelqu'un a de l'alcool, tu pourras y nettoyer du fil et une aiguille.

Le plus perturbant dans son attitude était sa façon d'aborder la blessure, et la façon dont il faudrait la soigner. Comme si il avait vécu bien pire, et avait eu affaire à des médecins ne se souciant absolument pas de la douleur des patients.

Apres avoir jeté un rapide coup d oeil distrait sur la Blessure de Daranir, Arandir planta son épée entre ses pieds pour liberer sa main droite, puis appuya son bouclier contre celle ci .
" Perdival, je tiens quand meme a te prevenir que mon frere n est pas un patient tres..... cooperatif ! Il a tué son dernier medecin a mains nues lorsque celui ci a voulu recoudre a vif la blessure qui a donnée cette cicatrice au dessus là.. tu vois? inutile de te dire que l auteur de cette fameuse blessure n a pas respiré assez longtemp pour y voir du sang sortir...La substance qu il vient d absorber le calmera un peu , mais pas longtemp alors a ta place j irais vite .
Quand a toi Sanghayando, mon frere a l air de t apprecier autant que moi, j en suis heureux ! Ne crains rien au sujet de notre affaire, tout va bien ."
Les yeux du soldat , ronds comme des billes passaient d'Arandir à la blessure de Daranir, ecoutant les conseils de son superieur. Il sortit d une poche de sa ceinture une fiole, ainsi qu un tube de tissus noir.
Avec une grande douceur et une grande prudence, il s approcha de l homme, puis observa attentivement la blessure.
Effectivement, elle etait tres nette, mais profonde, el l ematome qui k entourait n avait pas l air de presager d une quelconque infection presente.
Il versa le contenu de la fiole dessus, en fermant fort les yeux, s'attendant a se retrouver catapulté dans les arbres.
De ce temps, Arandir s'etait rapproché d'Anglas et Haldir, tout en otant ses gants.
Et bien si vous etes prets a affronter le plus gros de l armée, ils sont encore rattrapables, et les cavaliers du rohan doivent deja etre en route pour leur barrer le chemin.
Ce que vous venez de combattre n 'est que le dernier quart de l armee qui accompagne Sauron dans ce voyage. Il se trouve au beau milieu de cette armée, un chariot entouré de ses meilleurs guerriers .. A la tete du cortege, c'est un des nazguls qui decide de l itineraire.. et a la fin, le chef des haradrims, un autre des nazguls, le mage bleu tres probablement, quoi qu avec eux aucune prevision n est possible ! il devait y avoir aussi moi et Urkul . Mais le mage et le nazgul ont foncé prevenir le necromencien que la forteresse etait attaquée des le debut de votre offensive alors que moi je suis revenu sur mes pas pour "aider" a la defense.
Je dois donc etre porté mort si ils ne me voient pas revenir, et ils ne feront pas demi tour pour s en assurer ou me porter secour.Mais je dois rester vigilent et discret.
J espere seulement (disant cela il fixait les yeux de Daranir, bras tendu sous les mains de Perdival qui s affairait une aiguille est du fil a la main, a rapporcher les bords de la plaie. Ses gestes etaient precis et efficaces.. il a manifestement été formé par un bon medecin et a l habitude de ce genre d intervention.) que le vieux n aura pas eu la bonne idée de venir inspecter les lieux . Si nous le croisons, nous aurons du fil a retordre. Mais il y a peu de chances.. Il doit etre au mordor a present.
puis, il se retourna de nouveau vers Anglas :
Allons? que decidez vous?

Daranir restait d'un calme inquiètant, écoutant attentivement ce qui se disait.

Perdival, tu ferais mieux de garder les yeux ouverts pour travailler. Comme l'a dit mon frère, je ne suis pas trés ... patient. Cependant, frérot, tu oublies de préciser que ce ... médecin était un des tarés ricaneurs du service de soutien tactique. De la graisse de snaga sur une blessure, je te demande un peu ...

S'adressant directement à Ârândir, sans bouger, le regardant lui aussi droit dans les yeux

On t'a dit qu'il y était encore, et moi on m'a dit la même chose quand je suis passé à l'avant poste d'Osgiliath il y a six jours. Voila qui donne à réfléchir, pas vrai ? "Faites-moi confiance, je vous assure que je ne mens pas !". La bonne blague ... Les Orques ne savent pas mentir, mais ils peuvent répéter ce qu'ils croient vrai. En tous cas, c'est un de ses officier qui m'a ordonné de venir ici, lui je ne l'ai pas vu, et les ordres étaient vagues "on vous dira quoi faire une fois arrivé"

Et si tu réfléchis un peu plus loin ... ça l'arrange drôlement, n'est-ce pas, que nous ayons été obligés d'abattre Urkul, hmmm ? Evidemment, ça voulait dire nous passer tous les deux dans les pertes, mais tu sais bien que ce n'est pas ça qui l'ennuierait vu les avantages gagnés. Et d'autre part on pourrait devenir dangereux pour le vieux , nous éliminer est donc .... utile.

Evidemment, on peut décider de croire à la chance et aux coïncidences inouïes. L'ennui, c'est que tu sais trés bien qu'il adore que ses ennemis y croient.


Autrement dit : on est mal... comme tous ceux qui vont s'engager dans cette affaire.

Son travail de premiers soins terminés, Perdival recule vivement, heureux de ne pas avoir subi les foudres de son patient.
Un sourire de satisfaction fendant son visage enfantin... il se place a coté de son grand ami Cardaloc qui lui donne quelques petits coups de coudes comme pour le feliciter.

Sanghayando prend la parole avec une voix caverneuse remplie d inquietude:
Je me propose d aller terminer le menage a l interieur avec mes hommes.
Nous connaissons bien les lieux et nous aurions plus vite fait, en tatonnant moins que vous... sauf votre respect.. a vos odres.. Sergent !

Tu pense pouvoir venir a bout du reste des soldats vivant ici , hein?... mmmmh ! et bien oui c est pour moi un bon moyen d etre sur de tes capacités..
Si Dârânir est d accord, je te confie donc la mission de finir le netoyage ici.. nous devons vraiment aller vite.. pour toutes ces raisons, nous devons rattraper le cortege pour servir de marteau sur l enclume dues hommes du Rohan et interdire toute fuite au mordor.